201_Salle Ovale, station tactile 1 •	La fabrication d’un globe terrestre

This tactile station takes a look at the way globes used to be manufactured. The facsimile on display reproduces a portion of the globe designed in 1838 by Charles Dien, astronomer at the Paris Observatory.On the left is a full-size reproduction of a half-globe from the North Pole to the South Pole, enabling tactile discovery of four continents (Europe, Asia, Africa and, Australia). Meridians and the equator are in relief. The Arctic isn’t included as its exploration was still underway when the globe was produced.The touch screen on the right explains how a globe used to be made. From the early years of the 16th century up to the 19th century, the technique for manufacturing globes remained unchanged: Two-half-spheres were moulded on wooden shells and then assembled, creating a hollow papier-maché ball that was then coated with plaster. Next, a cartographer drew twelve flat, almond-shaped gores. Each gore represented a part of the earthly sphere. They were then cut out, coated with glue and carefully positioned on the papier-mâché ball. Colours were applied, and a final protective coat of varnish.The screen shows 6 gores and the two Poles.

Esta estación táctil aborda la fabricación de un globo terráqueo. El facsímil expuesto reproduce una parte del globo terráqueo diseñado en 1838 por Charles Dien, astrónomo del Observatorio de París.A la izquierda, reproducido a tamaño real, un semiglobo cortado entre el polo Norte y el polo Sur permite descubrir táctilmente los continentes (Europa, Asia, África y Australia). Los meridianos y la línea del ecuador están en relieve. El Ártico no figura, ya que todavía se estaba explorando cuando se editó el globo.La placa táctil de la derecha explica cómo se fabrica un globo terráqueo. Desde comienzos del siglo XVI hasta el siglo XIX, la técnica de fabricación de un globo no ha variado: se moldean dos semiesferas en cascos de madera y después se ensamblan. Se fabrica así una bola hueca de papel maché que se cubre con yeso. Después, un cartógrafo dibuja horizontalmente doce husos (en forma de almendra). Cada huso representa una parte de la esfera terrestre. A continuación, estos husos se recortan, se untan con cola y se colocan cuidadosamente sobre la bola de papel maché. Luego se aplican los colores y, por último, una capa de barniz protector.La placa muestra 6 husos y los dos polos.

Cette station tactile est la première des quatre proposées dans la salle ovale. Elle aborde la fabrication d’un globe terrestre. Le fac similé exposé reproduit une partie du globe terrestre conçu en 1838 par Charles Dien, astronome à l’Observatoire de Paris. Sur la gauche, reproduit à taille réelle, un demi-globe coupé entre le pôle Nord et le pôle Sud permet la découverte tactile des continents (Europe, Asie, Afrique, Australie). Les méridiens et la ligne de l’équateur sont en relief. L’arctique ne figure pas, son exploration étant toujours en cours au moment de l’édition du globe. La planche tactile à droite explique la fabrication d’un globe terrestre. Du tout début du 16e siècle jusqu’au 19e siècle, la technique de fabrication d’un globe demeure la même : on moule deux demi-sphères sur des coques en bois puis on les assemble. On fabrique ainsi une boule creuse en papier mâché que l’on recouvre de plâtre. Puis un cartographe dessine à plat douze fuseaux (en forme d’amande). Chaque fuseau représente une partie de la sphère terrestre. Ces fuseaux sont ensuite découpés, enduits de colle et soigneusement positionnés sur la boule de papier mâché. Puis on applique les couleurs et enfin, une couche de vernis protecteur.La planche montre 6 fuseaux ainsi que les deux pôles.

202_Salle Ovale, station tactile 2 •	La monnaie royale française

This station is devoted to the French Royal Mint and presents the “Henri IV Gold Double Crown”, both sides of which are reproduced here.This coin was struck to mark Henri IV’s accession to the throne following Henri III’s assassination. The Paris Mint’s coin workshop was moved to Compiègne at the time. This gold double crown was an illegal coin nonetheless, as it hadn’t been authorised by the Cour des Monnaies (Currency Court).The obverse side shows three Fleurs-de-Lys inside a shield topped by a crown decorated with Fleurs-de- Lys. There’s a crowned H on either side of the shield, representing the King. The coin’s rim is engraved with an inscription meaning “Henri IV by the grace of God King of France and Navarre”. An upside-down “A” indicates that the coin was minted in a Paris workshop ; The A is known as the “workshop letter”. This coin was minted in 1859, as indicated by the date engraved above the crown. The year in which a coin was minted wasn’t included until the 16th century, around the same time that the sovereign’s effigy first appeared on coins.In the centre of the reverse (the “tails” side), you can see a cross, a motif usually depicted on the reverse sides of medieval coins. In those days, people also spoke of the “cross side” to denote the back of a coin. This one has four arms each ending in a Fleur-de-Lys. The four spaces between the arms, known as “cantons”, are decorated alternately with an H (for Henri IV) and a Fleur-de-Lys. There’s also an H in the centre of the cross, acting as the arms’ departure point. A Latin inscription around the coin’s rim means “Christ triumphs, Christ reigns, Christ commands”. An acclamation delivered during religious ceremonies at Eastertime, it continued to be inscribed on France’s royal coins up until the Revolution.A sample on the lower right-hand side of the terminal indicates the coin’s actual size, alongside a sample of gilded brass.

Dedicada a la moneda real francesa, esta estación presenta el “doble escudo de oro de Enrique IV”, cuyas dos caras se reproducen aquí.Esta moneda se acuñó cuando Enrique IV accedió al trono después del asesinato de Enrique III. Entonces, la ceca de la casa de la moneda de París se trasladó a Compiègne. Sin embargo, este doble escudo de oro es una moneda ilegal, porque no fue autorizada por la Cour des Monnaies.El anverso (la cara de la moneda) muestra tres flores de lis inscritas en un escudo y rematado por una corona de flores de lis. A ambos lados de este escudo está estampada una H coronada que representa al rey. En el contorno de la moneda está grabada una inscripción que significa “Enrique IV por la gracia de Dios, Rey de Francia y Navarra”. Una “A” grabada en el reverso indica que esta moneda fue acuñada en una ceca parisina; La A se denomina la “letra de ceca”. Esta moneda se acuñó en 1859 como demuestra la fecha que figura encima de la corona La fecha de acuñación no empezó a inscribirse hasta el siglo XVI, más o menos cuando apareció la efigie del soberano en la moneda.En el reverso (la cruz de la moneda), figura una cruz en el centro, motivo que solía representarse en el reverso de las monedas medievales. Por este motivo se habla de “lado cruz” para designar esta cara. Tiene 4 ramas que terminan en una flor de lis. Los 4 espacios entre las ramas, denominados “cantones”, están adornados alternativamente con la letra H (de Henri (Enrique) IV) y flores de lis. También aparece una H en el centro de la cruz, que constituye el punto de partida de las ramas. En el contorno de la moneda hay inscripción en latín que significa “Cristo vence, Cristo reina, Cristo manda”. Aclamación pronunciada durante las ceremonias religiosas de Pascua, siguió siendo la leyenda de las monedas de oro reales francesas hasta la Revolución.En la parte inferior derecha del terminal se encuentra una muestra que indica el tamaño real de la moneda, así como una muestra de latón dorado.

Consacrée à la monnaie royale française, cette seconde station présente le « double écu d’or d’Henri IV », dont les deux faces sont ici reproduites.<div><div>Cette monnaie a été frappée lors de l’accession au trône d’Henri IV à la suite de l’assassinat d’Henri III. L’atelier monétaire de Paris est alors transféré à Compiègne. Ce double écu d’or est néanmoins une monnaie illégale, car elle n’a pas été autorisée par la Cour des Monnaies.</div>Le « droit » (la face principale) montre trois fleurs de lys inscrites dans un écu et surmonté d’une couronne fleurdelisée. De part et d’autre de cet écu est frappé un H couronné qui représente le roi. Le pourtour de la pièce est gravé d’une inscription qui signifie « Henri IV par la grâce de Dieu roi de France et de Navarre ». Un « A » gravé à l’envers indique que cette pièce a été frappée dans un atelier parisien ; le A est appelé la « lettre d’atelier ». Cette pièce a été réalisée en 1859 comme en atteste la date qui apparaît au-dessus de la couronne. L’apposition d’un millésime n’est apparue qu’au 16e siècle, plus ou moins en même temps que l’apparition de l’effigie du souverain sur la monnaie.<div>Au revers (le « côté pile »), vous allez découvrir au centre une croix, motif généralement représenté sur le revers des pièces de monnaie médiévales. On parle d’ailleurs à cette époque de « côté croix » pour désigner cette face. Celle-ci a 4 branches se terminant par une fleur de lys. Les 4 espaces entre les branches, nommés « cantons », sont ornés alternativement de H (pour Henri IV) et de fleurs de lys. </div>Un H apparaît aussi au centre de la croix, constituant le point de départ des branches. Une inscription latine sur le pourtour de la pièce signifie « Le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande ». Acclamation prononcée lors des cérémonies religieuses de Pâques, elle demeure la légende des monnaies d’or royales françaises jusqu’à la Révolution.Dans la partie inférieure droite de la borne est apposé un échantillon indiquant la taille réelle de la monnaie, ainsi qu’un échantillon de laiton doré.<div></div></div>

203_Salle ovale, station tactile 3 •	Technique d’imprimerie mobile et typographie

This station is devoted to the technique of printing with moveable characters and to typography. Three objects are exhibited on the left-hand side: a die, a matrix and a block letter: they’re all emblematic of this printing technique.The die consists of a steel rod on which a letter’s reversed shape is engraved. The die is struck on a block of copper. As copper is softer than steel, the die leaves its impression, so forming the matrix that will serve as a mould. The matrix is used to cast several examples of the moveable characters employed to create pages letter by letter. Die, matrix and moveable character are reproduced in relief.The printer works “mirrorwise”, from right to left, placing the characters one after the other to form words, lines and then pages. The characters are coated with ink and then pressed on the paper, on which the text is printed. This technique is illustrated by the word “Livre” reproduced in moveable characters and printed. Its invention dates back to the 15th century, and we owe it the German inventor Johannes Gutenberg.The right-hand side of the touch terminal shows the word “LIVRE” written in 4 different fonts, bearing witness to their chronological evolution. Reproducing the handwriting of medieval copyists, the earliest 15th-century characters are in Gothic lettering, a narrow, angular font. In the 16th century, the printer Claude Garamont developed wider, more spacious characters that he deemed better suited to printed matter. In the 18th century, the printer Fermín Didot created characters with serifs, to which he lent his name. The 20th century saw the appearance of the Univers font, invented by the Swiss typographer Adrian Frutiger and composed of non-serif letters with consistent widths and heights, characters that came to characterise the 20th century.

Esta estación está dedicada a la técnica de impresión con caracteres móviles y a la tipografía. En la parte izquierda se exponen tres objetos: un punzón, una matriz y un carácter de imprenta: son los objetos emblemáticos de esta técnica de impresión.El punzón es una varilla de acero en la que se graba la forma invertida de una letra. El punzón se golpea sobre un bloque de cobre. Dado que el cobre es un metal más blando que el acero, el punzón deja su huella sobre él, formando la matriz que servirá de molde. En esta matriz se fundirán en varios ejemplares los caracteres móviles que se utilizarán para componer las páginas, carácter por carácter. El punzón, la matriz y el carácter móvil están reproducidos en relieve.El impresor trabaja “en espejo”: lo hace de derecha a izquierda, colocando los caracteres uno tras otro, formando así las palabras, las líneas y después las páginas. Los caracteres se cubren con tinta y se presionan sobre el papel, donde el texto se imprime al derecho. Esta técnica se ilustra con la palabra “Livre” (Libro) reproducida en caracteres móviles e impresa. Este invento data del siglo XV y se lo debemos al alemán Gutenberg. La parte derecha del terminal táctil muestra la palabra “LIVRE” (LIBRO) escrita en 4 tipografías diferentes, que reflejan su evolución cronológica Reproduciendo la escritura manuscrita de los copistas medievales, los primeros caracteres, en el siglo XV, eran de estilo gótico, una tipografía angulosa y comprimida. En el siglo XVI, el impresor Claude Garamont desarrolló caracteres más grandes y aireados, que consideró más adecuados para los impresos. En el siglo XVIII, el impresor Firmin Didot creó los caracteres con serifa a los que dio su nombre. En el siglo XX apareció la fuente Univers, que debemos al tipógrafo suizo Adrian Frutiger. Se trata de letras de tipo “palo”, que componen líneas constantes, caracteres que se han vuelto típicos del siglo XX.

Cette troisième station est consacrée à la technique d’impression à caractères mobiles et à la typographie. Trois objets sont exposés sur la partie gauche : un poinçon, une matrice et un caractère d’imprimerie : ce sont les objets emblématiques de cette technique d’impression.<div><div>Le poinçon est une tige d’acier sur laquelle est gravée la forme inversée d’une lettre. Le poinçon est frappé sur un bloc de cuivre. Le cuivre étant un métal plus tendre que l’acier, le poinçon y laisse son empreinte, formant ainsi la matrice qui servira de moule. Dans cette matrice seront fondus en plusieurs exemplaires les caractères mobiles qui servent à composer les pages, caractère par caractère. Poinçon, matrice et caractère mobile sont reproduits en relief.</div>L’imprimeur travaille « en miroir » : il travaille de droite à gauche en posant les caractères les uns à la suite des autres, formant ainsi les mots, les lignes puis les pages. Les caractères sont enduits d’encre puis pressés sur le papier, où le texte s’imprime alors à l’endroit. Cette technique est illustrée avec le mot « Livre » reproduit en caractères mobiles et imprimé. Cette invention date du 15e siècle, on la doit à l’Allemand Gutenberg.La partie droite de la borne tactile montre le mot « LIVRE » écrit dans 4 typographies différentes, témoins de leur évolution chronologique. Reproduisant l’écriture manuscrite des copistes médiévaux, les premiers caractères, au 15e siècle, sont en gothique, une typographie anguleuse et resserrée. Au 16e siècle, l’imprimeur Claude Garamont met au point des caractères plus larges et plus aérés, qu’il juge mieux adaptés aux imprimés. Au 18e siècle, l’imprimeur Firmin Didot crée des caractères à empattements auxquels il donne son nom. Au 20e siècle apparaît la fonte Univers, que l’on doit au typographe suisse Adrian Frutiger. Il s’agit de lettres de type « bâton », composée de lettres aux lignes constantes, des caractères devenus caractéristiques du 20e siècle.</div>

204_Salle ovale, station tactile 4 •	Le livre et sa reliure

This tactile station presents a book bound in red Morocco leather, typical of the late 17th and early 18th centuries, along with a specimen of the type of leather used.The centre of the binding is decorated with a medallion indicating that the work belonged to the King’s collections. This central motif was printed in gold leaf, using ornate brass plates of various dimensions, selected in accordance with the book’s format. The one used to create this book has since disappeared, but you can see a reproduction of it on the right: it displays three Fleurs-de-Lys surrounded by concentric ornaments and topped by a royal crown. From inner to outer, the concentric ornaments depict: the Collar of the Order of Saint Michael, embellished with 3 scallop shells, and the Collar of Henri III’s Order of the Holy Spirit, decorated with a Starry Cross. The two are encircled by a garland of foliage. Works bearing this particular motif are usually bound in red leather, and occasionally in blue or yellow. They are known as the “Maroquins du Roi” (the King’s Moroccan leather).This binding protects an older work, Ovid’s Heroides, created in the early 16th century for Queen Louise of Savoy. In all likelihood, the original black fabric binding was damaged and replaced by this one.

Esta estación táctil presenta una obra encuadernada en tafilete rojo, típico de finales del siglo XVIIo comienzos del XVIII, así como una muestra de cuero.El centro de la encuadernación está adornado con un medallón que indica que la obra pertenecía a las colecciones del rey. Este motivo central está impreso en pan de oro mediante elaboradas planchas de latón de distintos tamaños, elegidas según el formato de la obra La que sirvió para la realización de esta obra ha desaparecido, pero a la derecha se muestra una reproducción: presenta tres flores de lis rodeadas de ornamentos concéntricos, rematadas por una corona real. Los ornamentos concéntricos representan, desde el interior hacia el exterior: el collar de la Orden de San Miguel, adornado con 3 vieiras, y el collar de la Orden del Espíritu Santo de Enrique III, adornado con una cruz estrellada. El conjunto está rodeado por una guirnalda vegetal. Las obras que llevan este motivo generalmente están encuadernadas en cuero rojo, a veces azul o amarillo Se denominan “Los tafiletes del rey”.Esta encuadernación protege un manuscrito más antiguo, Las Heroidas de Ovidio, realizado a comienzos del siglo XVI para la reina Luisa de Saboya. Es probable que la encuadernación original, de tela negra, se deteriorara y se sustituyera por ésta.

Cette quatrième et dernière station tactile dans la salle ovale présente un ouvrage relié en cuir maroquin rouge, typique de la fin du 17e ou du début du 18e siècle, ainsi qu’un échantillon de cuir.Le centre de la reliure est orné d’un médaillon indiquant que l’ouvrage appartenait aux collections du roi. Ce motif central est imprimé à la feuille d’or au moyen de plaques de laiton ouvragées, de dimensions variées, choisies selon le format de l’ouvrage. Celle ayant servi à la réalisation de cet ouvrage a disparu, mais une reproduction vous en est proposée sur la droite : elle présente trois fleurs de lys entourées d’ornements concentriques et surmontées d’une couronne royale.Les ornements concentriques représentent, de l’intérieur vers l’extérieur : le collier de l’ordre de Saint-Michel, agrémenté de 3 coquilles St-Jacques, et le collier de l’ordre du Saint-Esprit d’Henri III, orné d’une croix étoilée. L’ensemble est entouré d’une guirlande végétale. Les ouvrages portant ce motif sont généralement reliés en cuir rouge, parfois bleu ou jaune. On les appelle « Les maroquins du roi ».Cette reliure protège un manuscrit plus ancien, Les Héroïdes d’Ovide, réalisé au début du 16e siècle pour la reine Louise de Savoie. Il est probable que la reliure d’origine, en tissu noir, ait été endommagée et remplacée par celle-ci.

Rez-de-chaussée

Premier étage

BNF Rez-de-chaussé

BNF 1er étage

BNF_Plan_R+1.png

BNF_Plan_RDC.png

BNF Richelieu

Visite BNF Richelieu

Expositions Temporaires

Salle Ovale

Wall description short 6239fa13c434f97940409fdc

Wall description 6239fa13c434f97940409fdd

Technical description 6239fa13c434f97940409fde

Audio transcript 6239fa13c434f97940409fdf

The Oval Room is now a reading room and public engagement room for all. Built between 1897 and 1935, it is one of two large rooms on the Richelieu site. Construction began in 1897, enabling the entire block to be dedicated to the Bibliothèque nationale. Designed by the architect Jean Louis Pascal and his successor Alfred Recoura, it is an impressive size: 43,7 metre by 32,8 metre and 18 metre high. One of the reasons Pascal chose an oval shape for the room was so it could get as much natural light as possible. A large glass roof and sixteen round glass openings or “oculi” also allow plenty of light in. Initially designed as a large reading room for all, in the end, it housed the periodicals reading room when it opened to readers in 1935 until 1998, when the press and periodicals collections moved to the François Mitterrand site in the 13th arrondissement. A kilometre of books.Today, the room offers over 24,000 books freely available, including 8,000 comics and graphic novels. Around the edge, you can consult nine terminals to go on a fun and interactive journey through the library’s collections and history.

La Sala Oval es hoy una sala de lectura y mediación accesible a todos. Construida entre 1897 y 1935 es una de las más grandes de la biblioteca.Su construcción se inicia en 1897. Las obras permiten finalmente recuperar toda una manzana de viviendas para ampliar la Biblioteca Nacional. Concebida por el arquitecto Jean-Louis Pascal y su sucesor Afred Recoura, la sala tiene unas dimensiones impresionantes: 43,70 metro por 32,80 y 18 de altura. Pascal le da una forma elíptica para obtener la mejor iluminación natural posible. Una gran cristalera y dieciséis aperturas acristaladas redondas u oculi la iluminan. Inicialmente prevista como una gran sala de lectura accesible a todos se convierte, no obstante, desde 1935 a 1998, en un espacio para albergar las publicaciones periódicas consultadas por los investigadores. En 1998 estas colecciones se trasladan a la sede François Mitterrand de la BnF, situada en el distrito parisino número XIII.Un kilómetro de libros.Actualmente la sala propone más de 24000 libros en libre acceso, de los cuales 8000 son cómics y novelas gráficas. Alrededor de la sala se han instalado nueve dispositivos de mediación que invitan al visitante a un viaje lúdico e interactivo en torno a las colecciones y a la historia de la biblioteca.

Una sala accesible a todos

La salle Ovale est aujourd’hui à la fois une salle de lecture et une salle de médiation ouverte à tous. Construite entre 1897 et 1935, elle est l’une des deux grandes salles du site Richelieu.C’est en 1897 que débute sa construction. Ce chantier permettra enfin de consacrer le pâté de maison entier à la Bibliothèque nationale. Conçue par l’architecte Jean-Louis Pascal et son successeur Alfred Recoura, elle affiche des dimensions impressionnantes : 43,70 m sur 32,80 m, 18 m de hauteur. Pascal lui donne une forme elliptique, pour bénéficier entre autres du meilleur éclairage naturel possible. Une grande verrière et seize ouvertures vitrées rondes, ou oculi, laissent aussi largement entrer la lumière.Initialement prévue comme une grande salle de lecture ouverte à tous, elle abrite finalement la salle de lecture des périodiques dès son ouverture aux lecteurs en 1935, jusqu’en 1998, date à laquelle les collections de presse et de périodiques déménagent sur le site François Mitterrand dans le 13e arrondissement.Un kilomètre de livres.La salle propose aujourd’hui plus de 24 000 livres en accès libre, dont 8 000 BD et romans graphiques. Sur le pourtour, on peut consulter neuf dispositifs de médiation, qui invitent à un voyage ludique et interactif dans les collections et l’histoire de la Bibliothèque.

Rez-de-chaussée

Salle Ovale

Une salle ouverte à tous